... je pousse la porte d'un coup de pied et pose tout mon bordel, mes 2 valises dans la chambre. Sans trainer, je les déballe, et après 20 minutes de labeur m'arrête pour regarder les fruits de mon rangement.
Freud (ou plutot ses oeuvres) occupe toute la partie supérieure de l'étagère, le bureau est déjà en fouillis (ca commence bien) mais je ne m'en occupe même pas. Seul un détail me préoccupe, je ressors la photo de L... dans son cadre et l'installe sur la table de chevet, avant de penser à la journée du lendemain et à toutes celles qui suivront, après avoir jeté un dernier regard à cette photo, seul objet auquel je tiens plus qu'à la prunelle de mes yeux.