L'Amour en Musique .... Noah+Lou=<3

Le ciel nous bombarde de ses goutteletes gelées et sans même se concerté, Lou et moi nous dirigeons immédiatement vers le campus.
Luella me traîne dans la salle de musique qui, par un odieux miracle, est resté ouverte alors qu'habituellement le jeudi elle est fermée aux public comme aux musiciens. On a le cul bordé de nouilles.

J'avance dans la salle en me frottant les cheveux, en rigolant tout en étant essouflé. J'entend Luella qui ferme la porte et je déboutonne ma chemise afin de l'enlever. Le tissus me colle à la peau et ce n'est pas franchement agréable. Je la pose sur une guitare, mine de rien, pour qu'elle sèche. La guitare appartient à un type que je n'ai jamais pu encadré alors comprenez que je ne me gêne pas.
Tout aurait put aller merveilleusement bien si, de son côté Luella n'avait pas également ôté son tee-shirt. Je suis face à elle et je n'ai plus envie de rire. Plus du tout. D'autres idées me traversent l'esprit et tout doucement je m'approche d'elle. Je ne lutte plus contre l'envie de l'embrasser ni contre celle de la prendre dans mes bras. D'ailleurs je ne lutte plus contre mon envie d'elle, simple et pourtant si forte .... .
De mon pouce, je lui caresse la joue et je retrace le contour de son menton. Je sourit, timidement et mon coeur bat de plus en plus fort. Si fort que j'ai l'impression qu'il va bondir de ma poitrine. Je me penche vers elle, lentement. Mes yeux vont de ses yeux à sa bouche et lorsque mes lèvres se posent sur les siennes je ressens de nouveau ce feux d'artifice dans ma tête.
D'abord timide, notre baiser ce fait de plus en plus intense et bientôt, je passe mon autre main aux creux de ses reins, l'attirant ainsi tout contre moi. A cause de la pluie sa peau est humide et de ma main qui caressait son visage, je remonte jusqu'à son oreille pour venir entortiller mes doigts dans ses cheveux que j'ai détachés au préalable.

Je me recule pour reprendre ma respiration et je capte le regard de mon jolie coeur. Je suppose qu'elle a dû sentir mon début d'érection, je ne peux pas lui cacher et de plus je n'en ai pas envie. J'ai soudain peur qu'elle prenne peur, qu'elle se recule mais Luella capture de nouveau ma bouche et je glisse ma langue entre ses lèvres, encore.
Je fais glisser sa jupe et elle tombe à ses pieds en un bruit de chiffons. Pendant que je lui caresse doucement le bas des reins, Luella détache un à un les boutons de mon pantalon et une fois que celui-ci tombe au sol je m'en débarasse très vite, en shootant dedans. Puis je glisse mes mains sous les fesses de Luella et la soulève sans m'arrêter de l'embrasser.
Je la dépose sur l'estrade, entre la batterie et le synthé et je me couche à ses côtés, m'accoudant sur un coude afin d'être en hauteur face à elle. Là, je dépose des baisers dans son cou puis sur son buste et sur son ventre .... et je remonte jusqu'à sa bouche.

Ambiance...

C'est étrange, c'est la première fois que je ressens ça. J'ai comme un brasier dans le corps, comme une sensation nouvelle dans le ventre. C'est bizarre, mais d'un côté, ça n'est pas du tout désagréable. C'est même tout le contraire. J'ai comme de la musique dans la tête. Les mains de Noah exercent chez moi une envie folle. J'ai envie de lui, j'oublis ce que je m'étais dis plus tôt. Coucher au premier rendez-vous, ne veut pas forcément dire traînée. Je l'ai trouvé j'en suis sûre.
Je capture sa bouche, je mordille sa langue, prête à glapir de plaisir alors que ses mains chaudes se baladent sur mes reins puis mes fesses. Mes bras s'enroulent aautour de son cou, d'une main, j'attrape une poignée de cheveux, la serrant très fort. Des frissons. Il me dépose au sol et s'installe au-dessus de moi, promenant avec douceur mais de manière experte ses lèvres sur mon corps. Je me mords les lèvres, je suis à bout de souffle.
La peau brûlante de son torse rentre de nouveau en contact avec la mienne alors que je laisse de nouveau s'infiltrer sa langue à la recherche de la mienne. Je le sers plus fort contre moi, son intimité si rude qu'elle me fait presque mal. Je provoque vraiment ça chez un homme? Alors qu'il glisse sa main dans mon boxer, palpant d'une main experte mon fessier, je gémis de plaisir, entre deux baisers:

" Noah.... hm.... No... ah... "

Mais soudain, un réflex stupide et vieux de je ne sais combien d'année refait surface, sans que je ne puisse faire quoi que ce soit: je le repousse un grand coup, en m'écriant:

" Dégage! "

Aïe, il est limite outré, ne comprenant pas ce qui se passe, et j'éclate de rire en me confondant en excuse:

" Désolée... j'suis rouillée... "

Je ne lui laisse pas le temps de cogiter, je ne lui laisse pas le temps de refroidir totalement, bien que le geste ait eu son effet. Je me lève et me dresse face à lui. Je dégraffe mon soutien gorge, et prenant les mains de l'appolon qui se tient face à moi, je les ammènes jusqu'à ma poitrine maintenant nue.
Ses mains chaudes font rudir mes seins, et je me mords la lèvre tandis que cette fois-ci, ce sont mes mains qui se glissent doucement dans le sous-vêtement de Noah.

" Dégage! "

C'est tellement brutal que j'en perd mon érection. Quoi ? Qu'est ce que j'ai fait ? Je lui ai fait mal ? Je ne lui ai encore rien fait ça m'étonnerai.
Je suis à la fois vexé et agacé. Tu sais Lou faut pas me prendre pour un con, si tu veux pas tu me le dit tout de suite mais tu ne me repousse pas comme ça.

" Désolée... j'suis rouillée... "

J'trouve pas ça particulièrement drôle ....

Elle se lève et dégrafe son soutien-gorge. Je la regarde avec des yeux ronds scintillent devant la plus belle chose que la terre est portée. Ce n'est même pas que je la trouve belle c'est que je la trouve magnifique et quand elle prend mes mains pour les posées sur ses petits seins j'ai le rouge qui me monte au joues. Je les sentent qui durcissent et cette sensation me redonne un peu de mon aplomb. Ce mordant la lèvre, Luella glisse ses mains sous mon caleçon. L'une de ses mains frôle timidement ma verge et j'esquisse un léger sursaut. Je lui sourit et la fait s'approcher de moi si bien que nos peaux rentre de nouveau en contact. Elle enlève le dernier bout de tissu encore capable de cacher mon intimité et je m'agenouille devant elle. Mes mains désormais posées sur ses hanches, j'embrasse son ventre, jouant avec ma langue. Et puis je relève la tête vers elle et sans quitter ses yeux je lui retire son boxer fesant ainsi glisser mes mains le long de ses jambes. J'envoi voler son dessous et du bout du doigt j'effleure son intimité à elle. Elle a la réaction que j'éspérais et, souriant, je la fait s'agenouiller face à moi.
Je ferme les yeux pendant que sa bouche dépose de fins baisers sur mon torse et lorsqu'elle s'aventure vers le bas de mon ventre je l'oblige à relever la tête. Je me place dans son dos et posant mes mains sur seins durs je l'embrasse amoureusement dans le nuque. Je suis si près d'elle qu'elle doit sentir mon désir pour elle contre sa peau. Sa peau si chaude ... J'ai tellement envie d'elle que ça me fait mal ...
Elle se tourne légèrement vers moi et nos bouches se rencontrent de nouveau en un baiser brûlant et passionné. Elle passe un bras autour de mon cou, son autre main se baladant ailleurs et, tendant le bras vers le sol, je l'allonge à même le sol et je me place au dessus d'elle en m'appuyant sur mes coudes pour ne pas la blesser.

Je ne crois pas avoir déjà ressentit ça. Les autres fois comtaient pour du beurre, et pour la première fois de ma vie, je sens qu'on me "fait l'amour", qu'on ne me "baise" pas. Ca peut paraître bizarre, mais un véritable fossé se creuse entre ces deux mots et leurs définitions. Noah me fait l'amour. A travers ses gestes et ses attentions, il me donne du plaisir et me cris son amour pour moi. Moi, c'est son prénom à lui que je cris, lorsqu'enfin, après d'interminables préliminaires si durables et voluptueux, je sens qu'il entre enfin en moi. J'enfonce mes ongles dans ses omoplates au fur-et-à-mesure de ses va-et-viens. De nouveaux gémissements de plaisir tandis qu'il dévore mon cou tout en continuant de stimuler mon intimité. Je suis au bord de l'arrêt cardiaque. Alors que ses coups de reins s'intensifient, je sens quelque chose monter en moi... Pour la première fois.
Je pars à la recherche de sa bouche, le faisant basculer, pour me retrouver au-dessus de lui. Ses mains puissantes cintrent mes hanches, accompagnant mes mouvements de va-et-viens, et alors que le plaisir est à son paroxisme, et que ma respiration s'accélère, je viens planter mes dents dans le cou de Noah, en ultime signe de plaisir. Un dernier gémissement, je suis essouflée. Je me repose lentement le long de Noah, nichant mon visage sur son torse trempé de sueur. Ma peau est également moite. Je reprends mon souffle, sereine, comblée... C'était... Parfait... Magique...
Je dépose doucement quelques baisers sur le torse de Noah, gardant mon visage contre ce dernier. Je cherche sa main de la mienne et mêle mes doigts au sien.

" Je t'aime... "

C'est inutile de lui dire, mais c'est pourtant la dernière chose que je dis avant de sombrer dans un demi-sommeil, parfaitement confiante dans les bras de Noah.

Je la sent qui vibre contre mon corps, un peu plus à chaque secondes. Elle est au bord de l'extase et moi aussi mais je lutte pour ne pas la pénétrer maintenant. Il y a un petit quelque chose que je veux qu'elle fasse et j'attendrai jusqu'au bout .... enfin .... si je tiens ...
Non je ne tiens plus, j'en ai la chair de poule. Avec mon genoux j'écarte ses jambes et je me glisse en elle en poussant un râle de plaisir au moment même où elle cri mon nom. C'est ce que je voulais. Qu'elle cri mon prénom, ca peut paraître ridicule mais c'est un truc qui me fait beaucoup d'effet ...

Elle enfonce ses ongles dans la peau de mon dos au rythme de chaque vas-et-viens. On ne m'avait encore jamais griffé le dos comme ça, je prend ça pour un compliment et intensifie mon mouvement tout en déposant d'ardents baisers dans son cou.
Elle capture de nouveau ma bouche et inverse les rôles, je me retrouve au sol et elle au dessus de moi.
Mes mains posées sur ses hanches, c'est elle qui entame désormais le va-et-viens et je me joint à elle. Nos hanches se rencontrent et je suis obligé de me mordre la lèvre pour ne pas crier. Elle, renversant sa tête en arrière, gémit. Je peux lire le plaisir sur son visage et ce n'est plus la même Lou que je perçoit. C'est avec une vrai femme que je me noit dans le péché et je glisse mes mains sous ses cuisses.
Les coups de reins s'estompent petit à petit et, sa respiration s'accélèrant dangeureusement, elle vient me mordre le cou. J'écarquille les yeux et elle y dépose maintenant de petits baisers. Elle gémit une dernière fois et elle se pose doucement le long de mon corps, la tête sur mon torse. Nous sommes brûlants et je passe ma main dans son dos. Je ferme les yeux et reprend tant bien que mal ma respiration. Elle me prend la main et noue ses doigts aux miens . Je porte l'étreinte jusqu'à mon coeur et de ma main qui lui caressait le dos quelques instants plus tôt je lui caresse désormais les cheveux. Sa peau est aussi humide que la mienne et les battements de nos coeurs ne se sont pas encore calmés ...

" Je t'aime... "

Je reste interdit durant quelques secondes. Je ne vais pas lui répondre mais je suis tout de même agréablement surpris. Je t'aime .... c'est la première fois qu'il résonne à mon oreille avec autant de sincérité.
Affichant un sourire satisfait, je la serre un peu plus contre moi et prend conscience qu'elle s'est endormit en sentant son souffle régulier.

Je fixe le plafond, pensif. C'est elle. Celle que ma grand-mère nomme "O sem igual a cada". C'est elle. "Le grand amour" comme répète les princesses dans les contes de fées, je le tient dans mes bras.
Je plonge peu à peu dans le sommeil, serrant toujours Luella contre moi.

Je ne sais pas combien de temps exactement nous sommes restés comme ça, tous les deux, enlacés, ni même combien de temps je suis restée endormie, mais je sais que lorsque j'ai ouvert les yeux, mon premier réflex a été de chercher Noah, sentir Noah. Oui il est là, ça n'était donc pas un rêve, tu m'as réellement conduit au septième ciel, tu m'as donné plus en quelques heures que nombreux hommes en une décennie. Je n'arrive pas à y croire, et lorsque je repense à tout ça, je retiens un petit rire et des larmes de joie. Je n'ai, j'en suis certaine, jamais été aussi heureuse de toute ma vie. On ne m'a jamais donné autant d'amour et de plaisir. Les autres fois, parfaitement minables à côté de cette fois-là, n'avait duré que quoi? Une quinzaine de minutes, sans préliminaires... Mais là... Pendant deux heures... Deux heures... Si quelqu'un était passé devant la salle de musique, il aurait certainement pensé qu'un orchestre répété un mouvement de la cinquième symphonie de Beethoven... Et je ne plaisante pas.
Nous sommes nus, à même le sol, un simple drap trouvé sur une batterie en tant que couverture, dissimulant par endroits notre nudité. Je me retourne dans les bras de Noah, de façon à me retrouver face à lui. Mes jambes et les siennes sont emmêlées, et ses bras m'enlacent délicatement. Je me mords la lèvre: si c'est un rêve, faites que jamais je ne me réveille. Je le regarde dormir: il est beau. Son visage est détendu, son expression est tendre. Je dépose un baiser sur ses lèvres. Lèvres qui m'appartiennent enfin. Je niche de nouveau mon visage dans son cou et me rendors.

Quelques heures après, un bruit me réveille: j'ai cru entendre une porte se refermer, mais je dois divaguer. Noah est toujours endormie et alors que je me redresse et l'embrassant une nouvelle fois, je me libère de ses bras. Il dort profondément. J'enfile sa chemise maintenant parfaitement sèche, ainsi que mon dessous. Je jète un coup d'oeil à l'extérieur: quoi, c'est déjà le soir? Combien de temps on est resté là?
Je profite du soir pour aller chercher des trucs à manger dans ma chambre, faisant le maximum pour ne pas qu'on me voit.
Je reviens un quart d'heure après avec de l'eau et des gâteaux.
Noah est réveillé. Je m'installe de nouveau à côté de lui, légèrement rougissante en repensant à notre petit moment d'intimité, puis je l'embrasse en lui murmurant:

" Tu as été divin... "

Un nouveau baiser.

" Tu as faim? "

Je m'extirpe d'un sommeil sans rêve en m'étirant. Je me frotte les yeux, sent un courant d'air entre mes jambes et m'aperçoit qu'il manque quelqu'un.

" Bah merde, Luella ?"

Elle m'a quand même pas lâché ? ..... Je tire une tête de six pieds de long, me sentant atrocement con. Puis mon regard tombe sur son sac et je me rassure un peu. Elle doit être au toilettes ou un truc comme ça, elle ne se serait jamais barrée sans son sac. Je me lève, laissant tomber le draps et je vais enfiler mon caleçon. Puis, je reviens m'asseoir et me frotte de nouveau les yeux. Je me rend compte que dehors il fait quasiment noir et je me demande combien de temps notre fabuleux corps à corps à duré.

La porte s'ouvre et je lève la tête à l'entrée de Lou. Ah Lou! Elle revient avec de quoi se remplir le ventre et de quoi se déshaltéré. Je savais bien qu'elle ne pouvait pas être partie ....

Rougissante, elle s'installe à côté de moi et pose les gâteaux. Elle m'embrasse

" Tu as été divin... "

et j'affiche un sourire satisfait. Je préfère ne pas lui répondre. Si je dis 'oui' ca fait un peu trop branleur sûr de lui et si je dis 'non' c'est un mensonge. J'ai conscience de mes talents mais quand même ... .
Elle m'embrasse de nouveau et me demande si j'ai faim. Je lui répond que oui et je m'empare d'un gâteau que je mange en deux bouchée. Finalement j'ai très faim ... Mes yeux se posent sur Lou ... Faim de Lou. Je pose une main sur sa jambe et l'embrasse à mon tour.
Je pousse un soupir et, lui lançant un regard moqueur je lui dis, l'air détaché:

"Hm ... c'est presque aussi bon que tes gâteaux ... "

Mes premières paroles censées depuis un bon moment ... . Je sourit et, posant de nouveau mes yeux sur le corps de celle qui m'appartient désormais, je lui murmure à l'oreille:

"Au fait .... sexy le tatouage ...."

Et je lui effleure la peau provoquant un frisson.

Je frissonne sous sa caresse avant de demander timidement:

"Euh... Quel tatouage?"

Nan parce que bon, si il parle de ze tatouage, c'est un peu la honte pour moi quand même... "I love sex, drug & rock'n'roll"... J'devais être complètement beurrée le jour où je me suis fais tatouer ça... Je ne vois pas d'autre solution.... D'ailleurs je ne m'en rappelle pas du jour où je l'ai fais faire.

Je joues un instant avec les manches trop longue de la chemise de Noah en faisant des ourlés, puis approchant mon visage du cou de Noah, je le reniche comme un peu plus tôt. Je fais exprès de souffler doucement dans son cou pour le faire frémir. Reculant légèrement mon visage, j'admire les marques de dents que je lui ai laissé. Je grimace un peu puis souris:

"Je t'ai laissé mon copyright..."

Je passe mes bras autour de son cou et colle mon front au sien, tout en racontant, sur un ton sollenel:

"Maintenant, tu m'appartiens, Noah Carvahllo. Cette marque le prouve."

Un large sourire de nouveau et je me mets à rire tout en cherchant ses lèvres. Plusieurs baisers et je me plains:

"Maiiiis arrêtes de manger, on a du temps à rattrapper! ... Exactement deux jours complets..."

Regard malicieux. Bien sûr que j'en redemande... Mais peut-être pas dans l'immédiat... Si?

"Bon, je te laisse reprendre des forces alors..."

Je l'embrasse. Puis avise un gâteau avant de croquer dans ce dernier en soupirant de bienêtre.

"Je t'ai laissé mon copyright..."

T'es surtout une peste parce que tu m'a mordu.

"Maintenant, tu m'appartiens, Noah Carvahllo. Cette marque le prouve."

J'esquisse un sourire: pas besoin de ça pour savoir que je t'appartient. Après plusieurs baisers, elle se plaint que je mange trop.
J'ouvre des yeux ronds en finissant un gâteau:

"Parce que tu en redemandes ?"

Je ne suis pas contre, mais venant d'elle je ne m'y attendais pas. Te faire l'amour encore une fois c'est oui mais pas ici ....

"Bon, je te laisse reprendre des forces alors..."

Je la regarde croquer dans un biscuit et je passe ma main dans son dos en l'attirant contre moi.

"Viens par là ... "

Nous sommes désormais l'un en face de l'autre et Luella à enroulé ses jambes autour de moi.
Je lève des yeux de poissons vers elle et mine de rien je déboutonne la chemise. Puis je l'attire contre moi, dépose un baiser entre ses seins et la serre tout contre moi. Sa peau nu contre la mienne me fait frissoner et je niche mon nez dans son cou. Passant mes bras sous la chamise je les glisse dans le creux de ses reins et cette fois c'est moi qui soupire de bien-être.
Nous restons enlacés ainsi durant un long moment et je ferme les yeux.

Finalement je détache d'elle, à regret, je l'embrasse et je me lève. Avec un sourire espiègle je lui tend la main:

"Allez viens, Jolie Coeur, on va rattraper nos deux jours ailleurs .... "

Elle se lèvre et il faut que je l'embrasse encore. Maintenant que l'on s'appartient je ne vais pas m'en priver. Je vais enfiler mon pantalon et jette le préservatif usagé. Je prend le reste de mes affaires ainsi que la bouteille d'eau qu'elle a apporté et je lui sourit.